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    Mamiko Watanabe en Jazzlycolors

    09/12/2025 | 1 h 37 min

    “Dans la musique comme dans la vie, je recherche avant tout la liberté, à être moi-même et à être forte.”Et tout dans son parcours prouve que Mamiko Watanabe est du genre fidèle à ses rêves.Née à Fukuoka, elle commence le piano dès l’âge de quatre ans, encouragée par sa mère, mélomane et fan de jazz, qui l’éduque aux 45-tours de Bill Evans ou Thelonious Monk. Un socle d’amour et de passion hyper puissant qui pousse notre héroïne du soir à aller toujours plus loin.À 19 ans, elle obtient une bourse pour étudier au très prestigieux Berklee College of Music de Boston, où elle rencontre - entre autres - Joe Lovano et Bobby McFerrin, et où elle achève d’aiguiser sa technique et de sculpter son univers entre bop, swing et poésie.Vingt ans après la sortie de son premier album, Mamiko Watanabe s’est imposée comme une figure incontournable du jazz à New York. Au fil des disques et des collaborations, elle poursuit sa quête de la maîtrise parfaite et son besoin viscéral de lumière.“Being Guided by the Light”, c’est le titre tout trouvé de son dernier album, sorti à la fin de l’année dernière et enregistré avec deux pointures absolues. Derrière la batterie, Billy Hart, qui accompagnait en leur temps des gars comme Herbie Hancock ou Stan Getz. Et de l’autre, le contrebassiste Santi Debriano, ancien accompagnateur d’Archie Shepp, avec lequel Mamiko joue depuis pas mal de temps.Ce soir, Mamiko Watanabe a fait le déplacement de New York à Paris, à l’occasion de la clôture du festival Jazzycolors. À ses côtés, Santi Debriano à la contrebasse et l’inarrêtable Arnaud Dolmen, dans le rôle de Billy Hart, derrière la batterie. Et tout ça, à deux pas de la tour Eiffel, dans le très bel amphithéâtre tout en bois de la Maison de la Culture du Japon.On n’allait évidemment pas rater ça, alors avec Antonin Bourgeade et Paul Mazet à la réalisation, on a demandé si on pouvait poser notre studio mobile quelque part. Résultat, on a une loge rien que pour nous. Le spot idéal pour vous faire vivre ce concert en direct sur TSFJAZZ…Line up Mamiko Watanabe - piano Santi Debriano - contrebasse Arnaud Dolmen - batterie  Being Guided by the Light (Jojo Records - 2024) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Akata Kolo Orchestra au baiser salé

    05/12/2025 | 1 h 19 min

    Et ce soir, c’est afrobeat dans Jazzlive. Parfait pour un vendredi de décembre n’est-ce pas ? Nous avons rendez-vous avec un groupe parisien fondé en 2021 par neuf musiciennes et musiciens venus de tous horizons et unis par le groove, le rythme et la bonne humeur : Akata Kolo Orchestra. Il y a deux ans, ils sortaient leur premier EP, “Akatatown”. On découvrait alors leur univers, sorte de rencontre entre Fela Kuti, Ebo Taylor et Snarky Puppy. Un cocktail aussi festif que sophistiqué qui les propulsait sur la scène du New Morning de Paris, pour un concert à guichets fermés dont on a longtemps entendu parler, et qui leur ouvrait les portes des festivals européens. De quoi souder encore plus les membres de ceux qu’on appelle parfois tout simplement A.K.O. De quoi, surtout, leur inspirer le répertoire et l’état d’esprit de leur premier album. Pour l’instant, c’est un disque dont on parle au futur puisque la sortie est prévue pour 2026, mais, ça tombe bien : on est dans le futur dans Jazzlive. Ce soir, Akata Kolo Orchestra est à l’affiche du Baiser Salé pour un concert exceptionnel. L’occasion pour nous de découvrir en avant-première quelques titres de ce premier chapitre.Évidemment, on vous emmène avec nous. Avec Alexandre Visquis à la réalisation, on a posé notre studio mobile dans un coin du club pour vous faire vivre ce moment en direct sur TSFJAZZ. Rendez-vous dès 20h!Line up Edouard Jacquot - saxophone Rémy Granger - trompette Marième Snow - chant & flûteGarance Baltardive - trombone Raphael Ducourant - guitareSacha Le Roy - basse Jean-Baptiste Halin - claviers Killian Lefèvre - batterieEyal Roitman - percussions Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    David Linx au présent

    04/12/2025 | 1 h 4 min

    La dernière fois qu’on le croisait, c’était au Festival de Jazz de Bakou, à la fin du mois d’octobre. Ça nous donne une petite idée de qui est David Linx. Chanteur, compositeur et parolier né en Belgique d’un père musicien et directeur de festival, David Linx a très tôt côtoyé tous les plus grands jazzmen. Un environnement libre et artistique qui a rapidement fait naître en lui des envies de voyages et de découvertes. C’est auprès de l’écrivain James Baldwin, chez qui il réside quelque temps au début des années 80, qu’il commence à déployer ses ailes. A ce moment-là, il rencontre notamment Miles Davis, dont le jeu de trompette (vous allez voir), inspire encore aujourd’hui son chant, pur et sans vibrato. Ensuite, David Lynx rencontre le batteur Kenny Clarke qui l’accueillera chez lui et lui donnera des cours de batterie. Parce-que c’est en tant que batteur que notre héros du soir commence sa carrière. Mais à la fin des années 80, David Linx décide d’abandonner définitivement ses baguettes pour le premier instrument : la voix. C’est le début d’une carrière époustouflante sur laquelle il s’apprête à revenir à l’occasion de trois soirs de concerts sur la scène du Sunside à Paris. Timeline, c’est un concept imaginé par la merveilleuse Juliette Poitrenaud pour inviter les grands noms du jazz à évoquer trois temporalités de leur carrière : passé, présent et futur. Et comme David Linx ne fait rien comme tout le monde, c’est au présent qu’il conjugue sa première soirée, autour du répertoire d’un album sorti cette année : “Real Men Cry”. A ses côtés, des musiciens qui le suivent depuis plus ou moins longtemps : Hermon Mehari à la trompette, Leonardo Montana au piano, Jérôme Regard à la contrebasse et Stéphane Galland à la batterie... Line up David Linx - chant Hermon Mehari - trompetteLeonardo Montana - pianoJérôme Regard - contrebasse Stéphane Galland - batterie  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Le Son de la Terre et d'Olivier Robin

    28/11/2025 | 1 h 2 min

    On ne se rend pas compte, parfois, de la puissance des professeurs. Certes, ils et elles sont là pour nous enseigner des choses très théoriques, et on a souvent l’image stricte et austère, dans le genre Guerre des boutons, voire même tyrannique et un brin toxique, dans le genre Whiplash.Mais un professeur de musique, c’est souvent beaucoup plus que des gammes et des sourcils froncés. C’est la transmission d’une passion, et ça passe quelquefois par davantage d’heures de discussions que de pratique instrumentale. Demandez un peu aux musiciens et musiciennes qui vous entourent, et vous verrez les étoiles s’allumer dans leurs yeux en vous racontant leur prof préféré.Olivier Robin, lui, vous parlera sans doute de son premier prof de batterie, à Orléans. Un fan de Buddy Rich qui, entre deux dictées de rythmes, lui filait des disques d’Art Blakey, Elvin Jones, Max Roach ou Tony Williams. Olivier Robin avait 15 ans, et ce professeur venait de faire naître une vocation.Notre batteur se forge donc une solide réputation dans les clubs locaux, avant de venir tenter sa chance à Paris au début des années 80. En grand écart, Olivier Robin étudie la plupart du temps la percussion classique au conservatoire et s’envoie de temps en temps en tournée avec un groupe de free jazz berlinois.Ensuite, il se passe plein de choses. Une rencontre avec le saxophoniste Steve Coleman, la création d’un spectacle à succès en hommage à John Coltrane qui l’amènera, lui et ses collègues, à donner plus de 150 représentations dans une dizaine de pays, tout en enregistrant, quasiment dans le même temps, deux disques salués par la critique, en quintette avec le saxophoniste Sébastien Jarousse.En quelques années, Olivier Robin est devenu à son tour faiseur de vocations et de rêves de jazz. D’un côté, en prenant la casquette d’enseignant, et de l’autre, en se lançant en leader, pour nous faire entendre ses propres compositions, dans la droite lignée du hard bop. Après un premier disque en 2016, Olivier Robin était de retour il y a quelques mois avec un deuxième album en quintet, au titre qui détend : “Take It Like It Is”.Et ça tombe bien, Olivier Robin s’apprête à en jouer le répertoire dans un endroit assez chic dans lequel Jazzlive se rend pour la première fois : Le Son de la Terre. Une magnifique péniche au pied de Notre-Dame de Paris, et qui programme du jazz. Ce soir, vous l’aurez compris, Olivier Robin est à l’affiche, avec à ses côtés la même équipe que sur l’album. À savoir : Josiah Woodson à la trompette, Alex Terrier au saxophone alto, Albert Bover au piano et Fabricio Nicolas à la contrebasse.Rendez-vous dès 20h sur TSFJazz! Line upJosiah Woodson - trompetteAlex Terrier - saxophone altoAlbert Bover - piano Fabricio Nicolas - contrebasse Olivier Robin - batterie ALBUM : Tale It Like It Is (Freshsound Records - 2024) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Au studio avec Hugo Lippi

    24/11/2025 | 1 h 11 min

    « Grappelli disait qu'avec l'âge on ne progresse pas, on nettoie. Je commence à être plutôt d'accord avec lui ».Celui qui parle, c’est le guitariste Hugo Lippi. Notre héros du soir dans Jazzlive. Pour son dernier album, il est allé faire le ménage du côté de sa chambre d’ado. Inévitablement, ça lui a pris plusieurs mois, il s’est retrouvé sans s’en rendre compte assis par terre à redécouvrir ses bricoles, le tout en écoutant ses premiers amours avec des étoiles dans les yeux et l’envie de dire que “ça, c’est de la musique bordel”. Mais Hugo Lippi est beaucoup plus élégant que ça. Il sait bien, lui, que rien n’est plus intense que d’avoir 14 ans, et que c’est avec ces disques qu’il a sculpté ses goûts et construit ce monde intérieur dans lequel on croise aussi bien Paul Simon que Edith Piaf. L’un de ses cartons préférés, c’est son carton CTI. CTI, c’est le label que fondait le producteur Creed Taylor à la fin des années 60 avec pour mission de laisser un espace à la rencontre entre le jazz et la pop, sans laisser l’exigence sur le pas de la porte. Ce label, c’est à la fois Antonio Carlos Jobim, Freddie Hubbard , Quincy Jones et Nina Simone. Au-delà des disques eux-mêmes, c’est toute l’époque qui fascine Hugo Lippi. Au même moment, en France, explosait l’âge d’or de la variété. Et tout (ou presque) se passait au 95 rue Championnet dans le 18e arrondissement. Là-bas, on pouvait croiser dans la même journée Françoise Hardy, Nino Ferrer, Dalida et Joe Dassin, et Hugo Lippi rêvait depuis longtemps de ce studio où on n’enregistrait pas la musique comme tout le monde. J’imagine qu’il a dû faire un clin d'œil à son âme d’enfant, en avril dernier, quand il passait la porte du légendaire studio CBE pour graver son deuxième album sur le label For Musicians Only : “Ohla Maria”. Un disque d’artisan, minutieusement sculpté, pas pour impressionner mais par amour de l’art et par respect pour les aînés. Presque par devoir. Celui de ne pas oublier le pourquoi sans cesser de réinventer le comment. Un déclaration d’amour en six cordes et en quartet, puisqu’après “Reflection in B” qu’il sortait en solo l’année dernière, Hugo Lippi a fait appel à une équipe qui lui va bien : Gaël Rakotondrabe au piano, Laurent Vernerey à la contrebasse et Denis Benarrosh à la batterie. Sans oublier quelques invités surprises parce-que c’est aussi ça une chambre d’ado. Et pour le premier concert officiel, Hugo Lippi nous a donné rendez-vous dans un autre temple de l’enregistrement sonore à Paris, dans le XXe arrondissement de Paris : les Studios Ferber. Rendez-vous dès 21h sur TSFJAZZ! Line upHugo Lippi - guitare Gaël Rakotondrabe - pianoLaurent Vernerey - contrebasseDenish Benarrosh - batterie + Guests Fabien Mary - trompette Hugo Guezbar - guitare  ALBUM A VENIR : Ohla Maria (sortie le 23/01/2026) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Acerca de Jazzlive

Jazzlive c'est l'ambiance d'un club de jazz chez soi.  Jazzlive c'est aussi des artistes et des concerts qui ont marqué l'histoire : Bill Evans au Village Vanguard, Art Blakey au Club Saint-Germain, Ella Fitzgerald à Berlin, Roy Hargrove au New Morning... Une heure pour revivre quelques-uns des plus grands moments du jazz sur scène. JAZZLIVE fait peau neuve sous la voix de Manon Brimaud qui est bien décidée à promener son micro dans les plus belles salles, les meilleurs concerts et festivals pour vous les faire vivre comme si vous y étiez. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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