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La Balise - Philharmonie de Paris

Cité de la musique - Philharmonie de Paris
La Balise - Philharmonie de Paris
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  • Au vol ! - Une enquête sur le vol des instruments de musique d'Emmanuelle Parrenin
    En mars 2016, la musicienne Emmanuelle Parrenin se fait voler deux vielles à roue. Désespérée, elle tente alors par tous les moyens de retrouver ses précieux instruments. Avec l'aide de ses proches, elle fait le tour des antiquaires et des luthiers spécialisés, poste des annonces sur les réseaux sociaux, alerte toutes les personnes susceptibles de connaître les réseaux de recel d'instruments anciens. Ce n'est que plusieurs mois après le vol, alors qu'elle a abandonné l'espoir de retrouver ses vielles, qu'elle reçoit un étrange coup de fil. Une dame pense avoir vu ses instruments sur un marché d'antiquaires, mais refuse de lui donner son identité. S'en suit une série de rebondissements étranges et cocasses, qui mènera l'enquête vers une fin surprenante. Emmanuelle Parrenin, née en 1949, est une musicienne et chanteuse française de folk, connue pour sa collaboration dans les années 1970 avec les groupes Mélusine et Gentiane, et un album culte, Maison Rose. Dans les années 2000, sa musique est redécouverte par le musicien Flop du label Les disques bien, et depuis, les collaborations musicales se succèdent avec des musiciens de la scène néo-folk et électronique (Etienne Jaumet de Zombie Zombie, Jean-Fabien Dijoud de Eat Gas, Detlef Weinrich de Tolouse Low Trax). Une création réalisée par Jeanne Robet avec Adèle Laloux, Maïana Gomis, Mathéo Comtes et Timothé Magis.
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    34:28
  • Nos pirateries, dans le chœur des supporters brestois - La musique, c’est du sport !
    Où est Fanny de Lanninon ? On part à la recherche de la chanson chantée dans la tribune des supporters du Stade Brestois 29. C'est là qu'on hurle les mots du poète Pierre Mac Orlan. Quand la bande son de « Francis » - c'est ainsi que l'on surnomme le stade de foot à Brest - résonne à la Philharmonie - le « Clairefontaine de la musique » comme le présente Mickael Pellen, le coach, à ses élèves - ça tonne ex aequo de Paris à Brest.  Nos Pirateries rejoue la partition d'un match de foot brestois. A la quarante deuxième minute, les mots de Pierre Mac Orlan résonnent : les supporters entonnent « Fanny de Lanninon ». Quel paysage se dresse alors dans les mots de la chanson de ce poète des ports ? Au nord c'était les corons ...tandis qu'à l'ouest, à Brest, sur le Quai Gueydon, devant l'petit pont …. De l'hymne de Mac Orlan à la voix du commentaire sportif en passant par la liesse de la « qualif » en ligue des champions du stade brestois en 2024, c'est la musique du football à Brest que l'on rejoue avec les outils de la radio et de la musique assistée par ordinateur, entre prises de sons radiophoniques et production musicale. Avec une équipe de pirates munis de ses micros, on plonge au cœur d'une chanson. On arpente la ville de Brest et les paroles, au milieu des supporters, dans les tribunes, dans les rues du feu quartier Laninon, dans les archives municipales, dans les studios de la Carène et de Fréquence Mutine. Et puis, à l'unisson, on cherche à recueillir, réinterpréter et « pirater » les paroles de la chanson de marin de 1953 écrite par Pierre Mac Orlan et aujourd'hui entonnée au Stade Francis-Le Blé. Une création réalisée par Marie Guérin avec à la prise de son, à l'écriture et à la création sonore : Abel Auger, Ivany Haddjeri, Souleymane Barry, Camille Etho Eyoum, Guilou Gamzogolt, Hippolyte Maillard Basinko, Emel Adda et la chorale des 6ème C dirigée par Cécilia Delanney. D'après Chansons pour accordéon, de Pierre Mac Orlan, musiques de V.Marceau ; éditions La Table Ronde, collection La Petite Vermillon Date d’enregistrement : février-avril 2025Mixage : Marie Guérin Musiques utilisées : Claude Morgan et Laurent Rossi. Bimbo Jet, « El Bimbo », EMI, 1974 Production : collectif  Belladone et la Balise ___ Épisode issu de la collection « La musique, c'est du sport ! ».
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    36:28
  • Quand Timbaud s'invite aux Noces de Figaro - À l'école de la radio et de la création sonore
    « Quand, j’ai vu Thaïs qui joue Suzanne, j’étais choquée, elle a une voix magnifique. Normalement quand une personne crie ça dérange, mais là avec l’opéra, ça fait plaisir aux oreilles. » C'est l'histoire de deux mondes que le périph' sépare : d'un côté des élèves décrocheurs dans un lycée d'Aubervilliers, et de l'autre, à moins de trois kilomètres à pied, les étudiants du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Durant trois mois ces jeunes vont apprendre à se connaître : les lycéens d'Aubervilliers équipés de micros rendent visite régulièrement aux apprentis musiciens et musiciennes et chanteurs pour découvrir l'opéra, et enregistrer les coulisses de la création des Noces de Figaro au sein de l'école. Et le courant passe, parfois. Certains restent distants voire hermétiques, tandis que pour d'autres, soudain, une émotion ou un intérêt surgissent face à cet art lyrique qui, « de base », n'était pas du tout leur style de musique. Réalisé par Thomas Guillaud Bataille, Elise Picon, Imon, Salwa, Salem, Haryless, Fasseri, Wissam, Madjhedine, Wayne, Kervens, Djamel, Harold, Brahim, Rayann, Ali et Killian. ___ Épisode issu de la collection « À l'école de la radio et de la création sonore ».
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    30:22
  • À l'écoute du temps perdu - Episode 1 : L’inconnue de Vinteuil
    Swann, mondain cultivé et amoureux désabusé, se rend chez les Verdurin, salon où l’on cultive le snobisme avec application. Un pianiste joue l’andante d’une sonate…  Chez les Verdurin, on bavarde, on juge, on s’émerveille. Un jeune pianiste joue, à la demande de ses hôtes. Swann reconnaît une phrase musicale entendue autrefois. Une jouissance l’envahit sans qu’il en comprenne la cause. Ce simple motif de cinq notes apparaît comme un « talisman d’un passé qu’il ne savait pas qu’il eût gardé en lui, [lui] apportait la preuve qu’il avait vécu ». Apprenant qu’il s’agit de la Sonate de Vinteuil, il la désire entière pour apprendre son langage.  Musique originale d’Alvise Sinivia : « J’ai choisi une tangente décalée et ludique. La fiction s’ouvre sur une Walkyrie bancale sortie d’un lecteur à bandes magnétiques. Le concert, au piano préparé, s’emballe en glissandi rapides et nerveux, comme échappés du petit pianiste sous tension. La dernière partie explore la mémoire musicale : à partir d’un thème de cinq notes au violon, j’ai composé une ritournelle que le temps altère, à l’image du souvenir, qui se déforme et se recompose. »  Conception, adaptation et réalisation : Karine Le Bail Voix : Julie Borgel (narratrice), Hortense Girard (Madame Verdurin), Xavier Gallais (Monsieur Verdurin) Musique originale : Alvise Sinivia, piano, piano préparé, lecteur à bandes magnétiques, Nicolas Van Kuij, violon Production : Théâtre National de Bretagne et La Balise ___ Épisode issu de la collection « À l’écoute du temps perdu ».
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    13:10
  • À l'écoute du temps perdu - Episode 2 : Ceci n’est pas la mer, c’est un ciel
    Dans l’atelier d’Elstir, rien n’est net : reflets inversés, lignes qui dansent, silhouettes trompeuses… Chez Proust, le flou est une façon de voir juste. Dans cet extrait de « À l’ombre des jeunes filles en fleurs », deuxième volume de  A la recherche du temps perdu,la jeune comédienne Esther Armengol a voulu rendre, par les sons, le clair-obscur de l’atelier d’Elstir, la chaleur et la lumière au-dehors, les pas du narrateur déambulant dans l’atelier et s’arrêtant devant une toile représentant le port de Carquethuit. Rien n’est net, les formes hésitent : est-ce une cale sèche ou bien déjà la mer s’enfonçant dans la terre, des mâts ou bien des toits ?  Proust joue ici des illusions d’optique comme il joue du pouvoir d’illusion des sons, troublant notre rapport au réel avec, en creux, une réflexion sur sa propre écriture : « J’y pouvais discerner que le charme de chaque tableau consistait en une sorte de métamorphose des choses représentées, analogue à celle qu’en poésie on nomme métaphore ».  Comme Elstir, Proust cherche moins à nommer qu’à suggérer, moins à définir qu’à faire apparaître, l’indistinction des formes comme des sons devenant une manière d’approcher ce qui, dans l’expérience et dans la mémoire, ne cesse de se dérober. Conception, adaptation et réalisation : Karine Le Bail Musique : Esther Armengol : violoncelle et balalaïka Production : Théâtre National de Bretagne et La Balise ___ Épisode issu de la collection « À l’écoute du temps perdu ».
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    7:23

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Acerca de La Balise - Philharmonie de Paris

Media d’un nouveau genre, la Balise souhaite voir émerger des formes radiophoniques aventureuses qui éveillent nos oreilles et élargissent nos sensibilités. Plus d’infos sur philharmoniedeparis.fr/labalise La Balise, radio de création de la Philharmonie de Paris par les 15-25 ans
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Generated: 10/30/2025 - 1:32:20 AM